Guilhem et sa jeune garde veillent dans les universités

Plus de cinquante ans après la révolte de mai 68, l’extrême-gauche gangrène toujours l’Université » : c’est le constat sans appel que fait Guilhem, 20 ans, étudiant en droit à la Sorbonne. Rencontre avec ce jeune qui se bat au quotidien pour nos valeurs.


Originaire du Tarn, Guilhem et ses trois frères et sœurs ont toujours été incités à s’engager, notamment par leur père, maire d’une petite ville du sud-ouest de la France. L’année dernière, en débutant ses études, il découvre immédiatement la triste réalité de l’enseignement supérieur : « enseignement de la théorie du genre, détestation de l’entreprise, blocus incessants, intimidations de ceux qui osent défendre la liberté d’étudier… ». Soucieux de professionnaliser son engagement, il est reçu à l’Institut de Formation Politique : « Durant 3 jours, j’ai pu renforcer mes convictions et apprendre à parler en public avec efficacité ».

J’étais exaspéré de voir ces idéologues tenir le haut du pavé dans mon université, alors j’ai fait le choix de m’engager à l’UNI – La droite étudiante ». Compte tenu de son activisme et de son enthousiasme, il devient rapidement responsable de sa section.

Avec son équipe, il mobilise les étudiants pour contrer le monopole de la gauche socialiste : tractage, conférences, prise de parole dans les amphithéâtres. « Chaque action que je mène concourt à mon objectif d’engagement : ne pas laisser le champ libre aux gauchistes ».

Et il lui faut toujours être prêt à l’action comme le 2 mars dernier où une trentaine d’étudiants bloquent la tenue de partiels dans son université. Sa réponse est immédiate : lors d’une assemblée générale, devant un amphithéâtre plein, il appelle à voter contre les blocages et défend la liberté d’étudier. Grâce à son intervention, les examens ont pu se tenir dans l’après-midi !

Guilhem n’hésite pas non plus à prendre la parole dans les médias pour dénoncer notamment la nomination de la députée d’extrême-gauche Danièle Obono au sein du Conseil d’administration de sa faculté ou la suspension par la Présidence de l’Université d’un séminaire dédié à la radicalisation islamiste. Il utilise aussi sa plume dans le magazine Causeur pour alerter les Français et dénoncer l’inaction et la faiblesse de nos politiques : « Les bloqueurs ne représentent pas les 3 millions d’étudiants qui se battent pour obtenir un diplôme et travailler le plus tôt possible. […] C’est tragique car l’État cède plus que jamais à la tyrannie des minorités ».

Malgré l’immense travail qu’il reste à mener dans les universités, Guilhem est confiant : « Avec l’engagement de la jeunesse, soutenue par des actions salutaires comme l’IFP, demain, nous triompherons ».