Un seul geste suffit
Pour participer au relèvement de la France
Je n’ai pas le temps…
Compte tenu de mon boulot, c’est trop risqué.
Je me concentre sur mon boulot. En plus, mes relations de travail et mes clients ne comprendraient pas…
Je ne suis pas millionnaire moi
Je ne sais par où commencer…
Notre pays va malRien ne nous garantit que la prochaine élection présidentielle va résoudre les maux dont souffrent la France et les Français.
Parmi eux, certains vous touchent particulièrement :
- fiscalité excessive ;
- dette abyssale ;
- relativisme moral ;
- immigration incontrôlée ;
- insécurité croissante ;
- commencement et fin de vie menacés ;
- système éducatif en faillite ;
- liberté d’expression en péril.
ET POURTANT….
Si l’on ne fait rien, la situation va empirer. Encore et encore…
C’est finalement comme si vous étiez attaqué directement.
Une douleur qui réapparait systématiquement dès que vous prenez connaissance d’un fait divers, d’un chiffre, d’une information, d’une anecdote racontée par un proche.
Vous vous posez alors la question : que puis-je faire pour stopper le massacre ?
Question légitime.
Nous faisons tous notre maximum pour « être à la hauteur » :
bon élève, bon ami, bon parent, bon entrepreneur, bon dans son travail.
Oui, c’est indispensable de faire le bien autour de soi. Mais l’urgence nous oblige à passer à la vitesse supérieure.
Il nous faut donner de la force à ceux qui ont le temps, l’énergie et la détermination pour mener à bien le redressement national.
Heureusement, des jeunes font le choix de se retrousser les manches pour nous tous.
Ils ont la fougue de leur âge, l’ardeur des combattants, la détermination des pionniers, la rage de vaincre des grands sportifs.
En un mot : ils sont assoiffés d’action. Non pas pour se servir – mais pour servir.
Rien ne les arrêtera dans leurs engagements, sauf…notre passivité.
Oui ces jeunes français ont besoin de nous
lls veulent s’engager avec l’état d’esprit et les méthodes éprouvées des entrepreneurs à succès : une ambition assumée, des objectifs précis, un calendrier et une équipe. Tout cela en suivant sérieusement les conseils de leurs aînés, afin d’inscrire leurs actions dans le temps long.
Être acteurs, et non spectateurs.
Ils viennent se former à l’Institut de Formation Politique (IFP) pour apprendre à défendre vos convictions.
Ces jeunes font ce que nous ne pouvons pas faire (la plupart du temps pour de bonnes raisons) : ils se donnent corps et âme à notre pays, à cette France à laquelle nous sommes tant attachés.
A l’IFP, nos étudiants sont formés par des intervenants issus du monde de l’entreprise, des universités, du journalisme encore des cadres d'associations engagées.
Tout au long de l’année, ils suivent des formations intensives mêlant :
- Enseignements : fiscalité, islamisme, bioéthique, wokisme...
- Exercices pratiques : prise de parole en public, entraînement radio/télé, préparation d’élections universitaires...
- Modules d’action : lutter contre la désinformation, contrer la dialectique socialiste, monter une organisation militante, faire croître son influence sur les réseaux sociaux...
Vous l’aurez compris, ils acquièrent les outils modernes indispensables pour faire triompher nos convictions.
Ils rencontrent aussi d’autres étudiants qui partagent le même soucis de l’action. Ils montent alors des actions militantes.
Le travail de l’IFP porte ses fruits : à ce jour, plus de 2 100 jeunes venus se former à l’IFP agissent concrètement et 750 d’entre eux exercent des responsabilités.
Virginie
a monté un laboratoire d’idées, l’Institut de recherche fiscale et économique, et dénonce dans les médias le matraquage fiscal dont sont victimes les Français et les entreprises ;
Charles et Benjamin
ont monté SOS Chrétiens d’Orient pour aider les chrétiens persécutés à rester sur leur terre ;
Adélaïde, Clément, Matthieu
et tant d’autres repoussent l’avancée de l’extrême gauche dans les universités en organisant notamment des opérations de déblocages dans leurs campus « en grève » ;
Samuel
avec son équipe a lancé un média de mobilisation en ligne pour montrer le vrai visage de la gauche sur Internet. Ses vidéos ont été vues par plus de 2 millions de Français !
Thaïs et Alice
ont fait la une des médias. La première pour avoir déployé une immense banderole pour dénoncer la manifestation du Comité Traoré à Paris. La seconde a affronté à la télévision un transgenre qui défendait « la propagande LGBT » auprès des enfants en novembre dernier (à une heure de grande écoute) ;
Margaux, François et Jérémy
ont fondé un groupe militant qui combat les mesures délirantes et coûteuses des écologistes radicaux !
et bien d'autres encore :
Dans la foulée de ma formation, j’ai lancé un journal qui permet de valoriser les jeunes qui prennent des initiatives en faveur du Bien commun.
Stanislas
22 ans, Angers
Sur les conseils d’intervenants de l’IFP, j’ai monté une liste aux élections de mon universités et j’ai été élue.
Marie
19 ans, Aix-en-Provence
Suivre une formation à l’IFP m’a permis de rencontrer des jeunes enracinés volontaires pour participer aux chantiers organisés par l’association de défense du patrimoine que j’ai montée cette année.
Paul
22 ans, Paris
Le réseau de l’IFP est efficace : l’équipe de l’IFP m’a mis en contact avec un groupe de militants de ma ville avec lequel je mefforce de casser le monopole des militants woke.
Clémence
23 ans, Lyon
J’ai appris à l’IFP des techniques d’écriture efficaces qui me permettent de publier régulièrement dans des médias à forte audience.
Aliénor
23 ans, Tours
Je travaille pour un groupe de pression qu’un formateur de l’IFP était venu présenter lors d’une formation. Depuis peu, je suis invité sur les chaînes d’information pour présenter nos travaux.
Aymeric
23 ans, Angoulême
Avec d’autres collaborateurs parlementaires que l’on m’a présentés à l’IFP, je monte des actions pour défendre la vie.
Aymeric
23 ans, Angoulême
Avec un seul objectif : construire une France fière de ses atouts et de son identité.
Les étudiants de l’IFP n’attendent qu’un geste de votre part.
Indépendant des partis politiques, l’IFP ne perçoit aucune subvention publique.
Oui, nos jeunes financent une partie de leur formation, mais pas sa totalité.
150 €, c’est le prix de la formation intensive d’un jeune qui, dès demain, repartira gonflé à bloc pour s’engager dans tous les espaces stratégiques – les associations, la politique, les médias et les universités.
Le bénéfice est aussi pour vous : quelle joie d’être acteur du redressement de notre pays. Quel bonheur d’utiliser une modeste partie de ses économies pour promouvoir le bon, le beau, le bien. Quelle satisfaction de découvrir régulièrement les actions militantes de la jeunesse que l’on a participé par un don à former.
10, 20, 30 ou 50 euros. Toute aide est la bienvenue. Vous rejoindrez alors l’équipe des 5 000 donateurs-bâtisseurs sans laquelle rien ne serait possible.
Et surtout, vous offrez un cadeau inestimable à la nouvelle génération : les encouragements de leurs aînés pour défendre les valeurs auxquelles vous et moi sommes attachés.
Vous êtes naturellement libre de les soutenir.
- fiscalité excessive ;
- dette abyssale ;
- relativisme moral ;
- immigration incontrôlée ;
- insécurité croissante ;
- commencement et fin de vie menacés ;
- système éducatif en faillite ;
- liberté d’expression en péril.
Mais que répondrez-vous à votre enfant lorsqu’il vous demandera :
Papa, Maman, qu’as-tu fait pour éviter le pire ?
Vous, vous saurez quoi lui répondre : j’ai fait mon devoir. J’ai soutenu la jeunesse de France.
Un seul geste suffit : faites un don à l’IFP !
ALEXANDRE PESEY, Directeur opérationnel de l'IFP
- N.B. : « L’origine de toutes les défaites ? Trop tard. On a compris trop tard, agi trop tard, combattu trop tard » disent les militaires. Agissez aujourd’hui. Au nom de la jeunesse engagée, merci !
- N.B. 2 : votre don ouvre droit à une réduction d’impôt de 66 %. Un reçu fiscal vous sera envoyé dans la semaine suivant la réception de votre don.