Stanislas, jeune entrepreneur dans les médias

Avec Paul Guerry, Stanislas Rigault est cofondateur de la revue mensuelle l’Etudiant Libre. Après avoir participé à 3 séminaires (en 6 mois !) de l’Institut de Formation Politique, il compte s’investir davantage dans la vie de la Cité.


Fils de militaire, cadet d’une famille de 4 enfants, Stanislas a beaucoup voyagé à travers le monde. En 2015, il décide de poursuivre sa scolarité au lycée militaire de la Flèche où il découvre la camaraderie et le patriotisme.

Quelques années plus tard, la volonté de combattre « la bien-pensance » n’a pas disparu : il choisit d’aller à l’université pour y faire du droit. Pour se « fortifier intellectuellement et humainement ». Il y retrouve par hasard un camarade de collège, Paul Guerry, avec qui les sujets politiques et médiatiques sont toujours au cœur des conversations. Très vite ils ressentent « le besoin d’agir ». Un soir, ils se retrouvent avec d’autres amis qui partagent le goût Bien commun. Au gré des discussions, l’idée de lancer un journal étudiant naît. Très rapidement le projet se met en place. Pour eux, « ce journal doit devenir une plateforme d’idées et de projets pour la droite française ».

Conscient que l’ambition et l’envie ne suffisent pas, Stanislas décide de se former à l’action en parallèle de ses études de droit : « un ami, pour qui j’ai beaucoup d’estime, m’a décrit ce que l’on apprenait à l’IFP et j’ai alors décidé d’y postuler. J’ai eu la chance d’être retenu et, enthousiasmé par la qualité des formations et la solidité du réseau de jeunes gens engagés découverts lors de ma première formation, j’ai suivi les deux autres niveaux de séminaire en l’espace de quelques mois ».

Entre les séminaires, les premiers numéros de l’Etudiant Libre sortent et le journal se fait de plus en plus connaître dans le milieu étudiant. A ce jour, quatre numéros sont déjà disponibles et les objectifs de Stanislas et ses amis sont élevés : « nous avons pour ambitions de distribuer nos journaux dans toute la France pour toucher le plus de jeunes possible. Notre génération doit absolument s’impliquer dans la vie de la cité, et si nous pouvons apporter une pierre à l’édifice, notre devoir de français sera accompli ». « Grâce aux séminaires de l’IFP », il ajoute avoir pu « non seulement identifier des jeunes engagés à mettre en avant mais aussi des pigistes ».

Avec l’Etudiant Libre, Stanislas veut « délier les langues et aider la jeunesse de droite à s’assumer et à prendre part au combat des idées ». Marqué par deux grands événements politiques auxquels il a participé « La Manif pour Tous » et « les Gilets Jaunes », il a eu « le sentiment d’être méprisé par les gouvernements en place ». C’est dans cette recherche de « liberté et de vérité » que l’équipe de son journal travaillent d’arrache-pied.

Dans les mois qui viennent, Stanislas compte poursuivre son engagement et s’impliquer « de toutes les manières possibles dans la vie métapolitique », en appliquant la phrase de Bergson « vivre consiste à agir ».